La mariée n’était pas volontaire

Catégories : FANTASME Femmes soumises sexuelles
il y a 3 ans
La mariée n’était pas volontaire une histoire érotique troublante

Il est entré dans ma chambre, ou plutôt la prison dont je ne pouvais sortir que pour la toilette et mes ablutions du matin. J’étais debout à la fenêtre à regarder les chats profitant de leur liberté sur les toitures des écuries. La peur m’a bloquée, figée comme si mes pieds étaient soudés aux sol, il m’était impossible de bouger ou même de parler. Comme vêtement, je n’avais sur moi qu’une chemise de nuit et une culotte. Malgré la chaleur de l’été, j’ai eu froid à son approche, en sentant la chaleur de son corps. Le contact m’a faite frissonner, que pouvais-je faire pour échapper à cet athlète vieillissant ? Rien.

Il m’a serrée dans ses bras, étreinte pour moi devenant comme des étaux, des carcans emprisonnant les bras. Ses lèvres se sont posées au creux de mon épaule, ses poils de barbe me griffaient presque dans ce qu’il semblait être pour lui, des baisers. Debout contre lui, je devenais « statue », ou plutôt une poupée de chair inerte à consommer à sa guise.

Irrémédiablement, ses grosses babines sont remontées sur ma joue, augmentant aussitôt ma peur. Il humait l’odeur de la jouvencelle en murmurant que je sentais bon. Sa grosse main plongea dans mes cheveux doux comme de la soie, pour en jouer avec ses doigts. La tête contre sa poitrine, mon nez ne pouvait qu’apprécier le parfum du mâle après sa journée.

Soudain, ses doigts ont serré mes cheveux, pour les tirer vers le bas, entraînant avec eux ma tête en arrière. Ses lèvres se sont posées sur les miennes, ma respiration s’est arrêtée. Il se voulait doux à priori, le calme avant la tempête, j’en étais sûre. Poussée à l’ouverture, ma bouche a été prise par sa langue très envahissante. Elle cherchait la mienne en furetant sans pitié pour ma gêne, mon dégoût.

Alors que je lutais pour respirer en me faisant à présent dévorer, sa main s’est insinuée sous ma chemise de nuit pour venir s’arrondir sur mon sein. Il se mit à le pétrir comme de la pâte à pain avant d’en saisir la pointe et de la serrer comme pour l’écraser. Je n’ai pu que gémir dans sa bouche devenant vorace, pour essayer de lui dire que cela me faisait mal quand il serrait trop fortement.

Et là, il a lâché mes cheveux pour venir malaxer mes petites fesses par dessus la culotte. Plaquée contre le mur, je ne pouvais reculer, je ne pouvais que m’abandonner. Contre mon ventre, je sentais la chose des hommes, dure comme de la pierre elle semblait vibrer. Quand sa main a envahi le devant de ma culotte pour venir envelopper mon chaton, j’ai cru défaillir.

Son doigt se mit à fouiller, il cherchait à écarter mes lèvres intimes, bien mince rempart face à une main aussi large que tout mon visage. Il trouva la faille et s’y enfonça lentement en grognant de plaisir. Soudain, la main se retira, passa entre mes cuisses pour me soulever sans effort apparent et me porter jusqu’au lit. A peine allongée, ma culotte fut quasiment arrachée. Immédiatement remplacée par son visage, humant la jouvencelle avant de la goûter de sa grosse langue, il se remit à grogner. Cela grogne un homme !

Cela me fit tout drôle d’être léchée là. Ce n’était pas désagréable malgré ses poils de barbes griffant mes cuisses. En même temps qu’il lapait de bon coeur en semblant s’abreuver à la source de la vie, ses deux mains se sont encore attaquées à mes seins sans défense. Malgré la peur et la gêne incommensurable, la science du lit de cet homme me donna chaud, chaud partout.

Il dut sentir que je me décontractais un peu, et décida de quitter la cave pour revenir à l’étage pour reprendre ma bouche. La sienne avait changé de goût, de parfum et me sembla sucrée. Il prit ma main et la guida vers son sexe, sûrement pour que je fasse connaissance avec ce qui allait me pourfendre et me faire devenir femme. Mon dieu que cela m’a parue gros et dur. Il n’aurait pas du, cela a augmenté ma peur d’avoir horriblement mal. Je ne savais que faire de ce gourdin de chair.

Et puis tout s’est enchaîné très vite. Il a retiré ma main, remonté mes jambes et s’est placé contre mon chaton. Après avoir bloqué mes cuisses avec ses gros bras, sa bouche a pris la mienne sauvagement, en même temps qu’il se glissait en moi. Je n’ai quasiment pas eu mal, je me suis juste sentie dilatée, remplie de lui, de sa chose. Tout en me mangeant il s’est agité en grognant des mots incompréhensibles.

Ses coups de rein devenaient amples, presque hargneux. Malgré la honte, au mépris de toute considération rationnelle, une sorte de moiteur s’est mise à envahir tout mon corps. Je me souviens avoir arrêté de respirer, comme si cela m’empêchait de me concentrer sur ces sensations nouvelles, cette vague de lave incandescente venant de je ne sais où. Puis ce fut l’explosion des sens, l’implosion. J’ai vu des étincelles passer devant mes yeux, des ondes me transperçaient toute, une chaleur insolite envahissait le tréfonds de son corps, ce corps que je ne contrôlais plus.

Il s’est retiré précipitamment pour me cracher dessus avec son gourdin. Mais je m’en moquais, mon cerveau se focalisait sur mon corps qui continuait de trembler, de se contacter sans que je comprenne pourquoi. Cela me faisait peur et en même temps c’était, drôle, bon. Il s’est écroulé sur moi comme s’il venait de faire un effort gigantesque et, entre deux souffles, il me disait des mots d’amour ou m’embrassait. Il m’a encore un peu mangée la bouche et le visage avant de s’allonger sur le côté et de s’endormir en me laissant avec mes songes.

Ma mère m’avait dit que c’était un bon parti, et avec son air de ne rien dire, tout en le disant, qu’il devait être un bon amant. Elle n’avait sûrement pas tord même si je ne sais pas comment elle peut mesurer ça.

Le 6 juillet 1882 j’ai été mariée par mes parents à un homme que je ne connaissais pas et je suis devenue femme. Je voulais m’enfuir, père m’a enfermée dans ma chambre. Le jour du mariage il m’a tenue fermement par la main à l’église. J’ai du dire « oui » à monsieur le curé sous peine d’être battue. Finalement, je ne lui en veux pas de m’avoir guidée et un peu beaucoup, énormément f o r c é e à plier.

Devenir femme c’est bon !

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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